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 Moscou 2007 - Finale :

 - E. Dementieva bat S. Williams : 5-7, 6-1, 6-1.

  - Pour la conférence de presse Elena Dementieva, étant venu pour la rencontre avec les journalistes une heure après la victoire en finale, souriait, répondait et patiemment à toutes les questions.

- Q : Qu'est-ce qui vous a aidé aujourd'hui à vaincre Serena, vous qui auparavant ne gagniez jamais contre elle ?

- Dementieva : Je savais que j'avais des bonnes chances pour ce match. Surtout à la veille de mon anniversaire. Chez moi tout allait parfaitement bien, mon jeu était en place, j'ai tapais bien la balle. Il me fallait trouver le bon rythme et utilisé toutes les possibilités que me permettait mon jeu.

- Q : Ayant perdu le premier set vous avez battu l'Américaine dans les deuxièmes et troisièmes sets. Qu'elle a été le tournant ?

- Dementieva : vous avez remarqué, sur ce tournoi du Kremlin la règle était que celle qui gagne le premier set gagne le match. Mais j'ai décidé dès le début que je lutterai jusqu'à la fin. Je n'avais rien à perdre, mais je voulais plus ce tournoi que ma rivale. Ayant remporté le premier set, elle s'est détendue un peut et pensais avoir fait le plus dur. Et quand elle a vu que je n'avais pas l'intention de céder, elle a baissé de cadence.

- Q : Vous, et Serena vous faisiez beaucoup de fautes aujourd'hui...

- Dementieva : Oui, mais s'est toujours ainsi quand il y a deux adversaires en bonne forme. Il y a une la lutte des nerfs, et dans ce cas les erreurs sont inévitables.

- Q : Quel votre tactique de jeu ?

- Dementieva : Hier J'ai regardé le match de Serena avec Svetlana et j'ai compris encore une fois qu'il ne fallait pas attendre de fautes de l'Américaine. Il faut constamment attaquer, particulièrement au niveau du service. Oui, chez moi cet élément du jeu est délicat, mais je risquais constamment même sur les deuxième balle. Et cela mettait la pression sur Serena. En plus elle n'aime pas les coups en sclice. Avec sa cuisse malade il lui est difficile de se déplacer dans cette direction, et en définitive elle relançait au-dessus du filet. De sorte que je recevais des balles qui me donnait de bonnes possibilités pour attaquer.

- Q : Pouvez appeler cette victoire la Coupe du Kremlin comme votre meilleur titre dans votre vie ?

- Dementieva : Je ne voudrais pas comparer avec mes autres titres. Je tiens beaucoup a ma médaille olympiques de Sydney, je tiens aux finales de grand chelem , comme tous les autres titres gagnés. La seul chose que je peux dire : la victoire d'aujourd'hui est d'autant plus intense que cela m'a pris du temps pour l'avoir.

- Q : Votre mère vous conseillait-elle avant la finale ?

- Dementieva : Non, elle ne conseillait pas. Elle m'a simplement souhaité bonne chance.

- Q : Trouvez- vous que c'est le meilleur cadeau pour votre anniversaire ?

- Dementieva : Absolument! les année précédentes cette fête tombait pendant le tournoi, et je ne pouvais aucunement vaincre. Mais cette fois-ci les organisateurs ont fait comme si il avait calculé pour que l'anniversaire ait lieu après le finale. Voyez, sa m'a aidé !

- Q : N'avez-vous pas le désir de ne pas aller maintenant à Zurich, mais rester à Moscou et fêter la victoire et l'anniversaire dans le cercle familiale ?

- Dementieva : Oui, avec plaisir! Seulement toutes les fleurs et les cadeaux m'attendent déjà en Suisse, a l'hôtel. De sorte que les amis, on peut dire, sont déjà las-bas.

- Q : Comment votre mère la t-elle ressenti cette finale ?

- Dementieva : Ma mère m'accompagne en permanence partage les bon comme les mauvais moments. Et aujourd'hui je suis contente que sa lui face plaisir. En effet, elle sourit si rarement.

- Q : Après la victoire d'aujourd'hui n'avez-vous pas envi de participer aux Masters pour Madrid ?

- Dementieva : „Oh, non je ne veux pas participer à la course aux Masters. Je ne connais même pas mon classement. Trop de temps m'ont manqué cette année à cause des blessures. j'ai des chances théoriques ? Eh bien, la seul chose que je veux maintenant, c'est jouir de la victoire du tournoi de Moscou "la Coupe du Kremlin".