Q : Vous avez aussi quelques maux d'estomac ?
ELENA DEMENTIEVA : Ouais, je veux dire, je pense ce qui est arrivé, j'ai juste perdu beaucoup d'eau pendant le match. Il était vraiment long ce match. J'avais l'estomac a l'envers, j'avait appelé le kiné et, vous savez, je mourais vraiment sur la fin du troisième set.

Q: Comment avez-vous surmonté toutes ses difficultées contre un adversaire si dur ?
ELENA DEMENTIEVA : parce que je suis russe ( sourire). J'aime la difficulté, vous savez. J'aime jouer contre quelqu'un de très fort. Vous savez, j'aime rivaliser. Amélie est une grande joueuse et, vous savez, c'est très intéressant de jouer contre elle. J'essayais vraiment de faire de mon mieux aujourd'hui.

Q : Avez vous pensé que vous pouviez vous retirer ou renoncer ?
ELENA DEMENTIEVA : Non, je n'aime pas le faire. Quand je suis sur le court, j'essaye de me concentrer sur mon jeu, même si j'ai quelque chose, une blessure ou quoi que ce soit. J'essaye juste de me concentrer sur le point. et j'essaye de tout oublier.

Q : Pendant le deuxième set sur un changement vous vous êtes dit quelque chose pour vous motiver. Vous rappelez-vous ce que c'était ? C'était en russe. C'était après un jeu clef tard dans le deuxième set. Vous avez crié quelque chose quand vous changiez de coté.
ELENA DEMENTIEVA : Non, je ne peux me le rappeler.

Q : En ce moment il y a deux joueuses russes dans les demi-finales : Vous-même et Nadia. Pourquoi pensez-vous qu'il y a eu tant de succès durant cette saison en Grand chelem ?
ELENA DEMENTIEVA : Ouais, eh bien, je pense que toutes les filles russes, elles travaillent dur et elle aiment rivaliser. Elle sont comme moi, elle sont prêt a mourirent pour chaque point et aimeraient gagner. Nous travaillons vraiment dur et je pense que nous méritons d'être au sommet. Juste, vous savez, c'est juste étonnant qu'il y ai tant de bonnes joueuses en ce moment. Mais, vous savez, dans le même temps, le tennis devient de plus en plus populaire en Russie et ce n'est pas surprenant pour moi.

Q : La première fois que la kinée est sortie, il m'a semblé qu'elle examinait votre jambe. La blessure a-t-elle provoquée ces maux d'estomac et est-ce l'épuisement dû à la chaleur comme le match a continué, ou est-ce que vous aviez cela la première fois ?
ELENA DEMENTIEVA : Non, la première fois qu'elle est venue c'était pour ma jambe, pour que sa ne s'aggrave pas pendant le match, elle m'a mise une bande supplémentaire. Mais la seconde fois que je l'ai appelé, c'était dans la fin du troisième set, c'était l'estomac.

Q : Qu'est-ce qu'il y avait dans le tube qu'elle vous a donné ?
ELENA DEMENTIEVA : je ne sais pas vraiment .

Q. Mais il vous a aidé ?
ELENA DEMENTIEVA : Il m'a vraiment aidé, ouais.

Q. Penser que vous serez bien pour votre match suivant ?
ELENA DEMENTIEVA : Ouais, j'ai bonne espoir. Je ne joue pas jusqu'à vendredi, donc j'ai le temps pour me remettre et je suis sûr que je me sentirai beaucoup mieux vendredi.

Q : Que ferez-vous pour récupérer ?
ELENA DEMENTIEVA : Me reposez, Probablement, vous savez je, ne pratiquant pas demain et un peu de traitement pour ma jambe.

Q. Vous l'avez joué au tiebreak très agressivement. Quelle était votre tactique ?
ELENA DEMENTIEVA : Vous savez, j'étais peu bouleversée avec ce dernier set parce que j'avais 6-5 pour moi et c'était une erreur de l' arbitre de chaise; il ne voulait pas voir la faute. Cela pourrait être 30-30 pour moi. J'ai été très vexé de cette situation. J'ai commencé à jouer très agressif.

Q. Quelles sont vos villes préférées où vous avez été sur le circuit féminin?
ELENA DEMENTIEVA : Mes villes préférées ?
J'aime New York, il est agréable d'être ici. J'aime l'Australie. Vous savez, j'aime toutes les villes où je joue bien ( sourire).

Q. Qu'aimez -vous en Australie ?
ELENA DEMENTIEVA : Ce que j'aime ? J'aime les australiens. Ils sont très amicaux. , Je pense que c'est un beau pays.

Q : Avez-vous été jamais étonnés ? Êtes-vous étonnés vous avez gagné alors que vous étiez blessés et ne vous sentiez pas bien ?
ELENA DEMENTIEVA : non, je ne suis pas étonné d'avoir gagné, non, je ne le suis pas. Je ne jouerais pas si je ne le penserais pas ainsi.

Q. Étant donné les circonstances, étant donné que vous souffriez, que vous vous êtes sentis malade ?
ELENA DEMENTIEVA : Ouais, je veux dire, c'était dur de jouer mais il a vraiment aidé mon jeu. J'avais quelque chose avec a ma jambe et je commence à faire service volée. Je finis le deuxième set comme cela et j'ai vraiment étonné mon entraîneuse en le faisant. Mais, vous savez je cherchait une autre façon de gagner. J'aime me déplacer, mais quand vous ne pouvez pas vous déplacer, vous devez utiliser votre bras, ou quelque chose d'autre. Et c'est vraiment intéressant, vous savez, parce que vous devez penser beaucoup quand vous avez quelque chose. Vous devez être intelligent sur le court.