La Russie

Un pays aux milles visages

   
   
 
 
moscou

 Le basculement du monde :

D'un point de vue géopolitique le retour de la Russie a la fin des années 90 a contrarié les plans américains de mise au pas de la chine en contrôlant les ressources énergétiques de l'Asie centrale, s'est l'une des grandes raison de l'hostilité des usa vis a vis de Poutine.

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 2012 : Une nouvelle Russie  & Géopolitique de la nouvelle Russie (PDF - 3.8 Mo)
Publication Nouvelle revue de l'histoire

 

On assiste depuis plusieurs années a une re-configuration du monde de monde unipolaire et américain du début des années 90 le monde redevient (dans une certain mesure) multipolaire et s'est une bonne choses tout pouvoir doit avoir un contre pouvoir même l'hégémonie bienveillante américaine ne fait pas exception a la règle, de plus l'émergence du monde multipolaire est directement liées a l'intransigeance des usa de vouloir conserver leurs hégémonie dans le monde. Le coté deux poids deux mesures quand a la promotion de la démocratie est la pour prouver le caractère beaucoup moins bienveillant des usa.

La Russie a été l'enjeux d'une lutte féroce pour le contrôle de l'Eurasie dont le contrôle visait a s'opposer a l'émergence d'un monde multipolaire avec l'apparition de la chine et des pays du BRICS seul vrai alternative au bloc Amérique/Europe, faut-il mentionner que toutes les institutions internationales ont été créer juste après la seconde guerre mondiale période ou l'Europe et surtout les USA se partageait le monde. Cette hégémonie grandement dominé par une économie anglo-saxon , la France fait aussi l'objet de cette lutte d'influence encore aujourd'hui.

L'Europe en réalité ne s'ai jamais remise du désastre de la seconde guerre mondiale, seul signe tangible l'émancipation de l'Allemagne de la politique anglo-saxonne refus de l'aventure libyenne et syrienne entre autre qui arrive a un moment du décrochage de la France surtout d'un point de vue économique.

 Géopolitique, les USA en guerre contre la Chine :

Pour bien comprendre les années 90 et la chute du mur et la Russie , il faut être conscient des véritables enjeux que se sont disputer les grandes puissances en particulier les USA. Dans cette lutte la Russie a été l'enjeux mais pas la cible contrairement a ce que l'on pourrait croire, le véritable objectif des USA a été et est la chine, parce que seul la chine est la seule puissance capable de dépasser l'Amérique dans le rang de la puissance matériel à un horizon de vingts ans. La Russie est donc l'enjeu parce que son orientation stratégique découlera largement l'organisation du monde de demain : unipolaire ou multipolaire. Face a la chine, les américains, entreprirent de déployer une nouvelle stratégie globale articulée sur plusieurs volets:
- L'extension d'un bloc transatlantique élargi jusqu'aux frontières de la Russie et à l'ouest de la chine.
- Le controle de la dépendance énergétique de la chine.
- L'encerclement de la chine par la recherche ou le renforcement d'alliance avec des adversaires séculaires de l'empire du milieu.
- L'affaiblissement de l'équilibre entre les grandes puissances nucléaires par le développement du bouclier anti-missile.
- L'instrumentalisation des séparatismes en Serbie, en chine, en Russie, et jusqu'au confins de l'Indonésie et le remaniement de la carte des frontières au moyen orient arabe.

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Le  nouveaux grand jeux  des puissances (PDF - 3.8 Mo)
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En réalité , aussi étonnant que cela puisse paraitre aujourd'hui la Russie continue a faire peur, essentiellement a cause des alliances qu'elle pourrait nouer soit a l'ouest, soit a l'est. D'un coté, l'axe Paris-Berlin-Moscou qui s'est esquissé lors de la guerre d'Irak (2003), de l'autre l'organisation de Shanghai fondée en 2001 avec la chine et l'Asie centrale. En fait, le Kremlin est moins redouté en lui-même que par le soutien qu'il pourrait apporter aux rivaux de Washington, en particulier à pékin. C'est ce qu'explique le néo-conservateur Robert Kagan : il voit se former en Eurasie un axe continental et autoritaire contre lequel les états unis doivent se mobiliser.

 

 Poutine, de Gaulle russe ! :

Personnage russes emblématique des années 2000, Vladimir Poutine restera certainement la personnalité la plus marquante en Russie et dans une certaine mesure dans le monde (le personnage a toujours eut mauvaise presse, en particulier dans la presse occidentale). Néanmoins il est indéniablement l'homme du retour de la Russie sur la scène internationale, il a su utiliser la rente pétrolière pour redresser la Russie et restaurer l'état russe sur le plan internationale.

Cette vidéo retrace l'entente cordiale avec les usa début 2001 jusqu'a la rupture en 2003 au sujet de l'irack.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Source : Extrait du site (fortune, blog économique) Par Marc Rousset

Poutine, c’est l’homme que les Américains n’attendaient pas et qui a non seulement redressé la Russie, mais l’a sauvée du dépeçage en trois tronçons envisagé par Zbigniew Brzezinski, de l’exploitation de ses ressources naturelles par les groupes étrangers, de l’encerclement par l’O.T.A.N.

Intronisé par Eltsine, il a su très habilement s’imposer progressivement en changeant l’orientation politique du pays, après quelques hésitations vis-à-vis des États-Unis, tout en se débarrassant des encombrants oligarques. Par son action, Poutine a d’ores et déjà sauvé la Russie, mais il va aussi probablement sauver l’Europe occidentale, en lui proposant une aide et un autre modèle que le droit de l’hommisme décadent, de façon à ce qu’elle puisse se libérer du protectorat militaire américain.

Dans un livre sur « la piratisation » de la Russie (1), Marshall I. Goldman, titulaire de la chaire d’études russes à l’université Harvard, raconte qu’à son arrivée à la tête de la Fédération de Russie, le nouveau président Poutine s’était indigné de l’écart entre les prix à l’export des hydrocarbures russes et les prix payés par les acheteurs. Où allait la différence ?

Les accords de partage de production passés dans les années Eltsine, lorsque la Russie avait les genoux à terre, ont été renégociés avec une pression très musclée. Poutine a tenu à reprendre la main sur le pétrole russe, en s’inspirant du modèle de l’Aramco en Arabie Saoudite, qui confère à la famille royale une puissance géopolitique considérable.

Pour Vladimir Poutine, comme pour le général de Gaulle, le politique doit primer sur l’économique. « La superpuissance militaire est devenue superpuissance pétrolière sous Poutine, dont la mission est de porter la Russie comme une puissance respectée à défaut d’être crainte » (2), assure M. Yu Bin, de l’International Relations Center.

Le 25 octobre 2003, Mikhaïl Khodorkovski, patron de Youkos, était interpellé par les forces spéciales russes sur un aéroport de Sibérie. Il venait de participer quelques jours plus tôt à un forum d’affaires à Moscou en compagnie de Lee Raymond, l’un des directeurs d’Exxon, une « Major » prête à participer pour vingt-cinq milliards de dollars à la fusion Youkos – Sibneft.

Pour le Kremlin, c’est la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. L’idée que les capitaux américains d’Exxon-Mobil et de Chevron-Texaco s’infiltrent, avec une participation de 40 %, dans le sanctuaire sibérien des hydrocarbures nationaux, était inacceptable. Les Américains, qui pensaient faire main basse sur le pétrole russe ont vu leurs efforts annihilés (3).

Par ailleurs, cette arrestation a marqué un « tournant décisif » dans les relations entre la Russie et les États-Unis. Khodorkovski finançait les partis d’opposition, entretenait les meilleures relations avec l’administration Bush et aurait été de surcroît candidat à l’élection présidentielle en mars 2008. Le destin de la Russie aurait été modifié si le président Poutine n’avait pas « brisé les rêves » de Khodorkovski et des États-Unis.

De plus, sur le plan interne, l’État s’était vu contester le contrôle qu’il exerçait sur sa principale source de revenus : le bénéfice de la rente sur les matières premières. Divers mécanismes légaux ou illégaux avaient permis aux grandes sociétés russes créées dans le cadre des privatisations opaques de l’ère eltsinienne, qu’elles soient privées comme Youkos ou semi-publiques comme Gazprom, d’échapper largement à l’impôt et aux taxes, privant l’État de toute manœuvre financière.

Pour nombre d’observateurs, c’était le fonctionnement même de la Fédération qui se trouvait ainsi en péril. Bien des Russes considéraient que leur pays risquait véritablement, sinon d’éclater, en tout cas de perdre définitivement ses dernières chances de rebondir.

Par ailleurs, Poutine a su briser l’encerclement de l’O.T.A.N., l’Ukraine et la Géorgie n’étant plus candidats. On ne parle plus d’un bouclier anti-missiles en Pologne. Il a rétabli l’autorité de la Russie dans le Caucase et en Asie centrale, les Américains n’étant présents, à prix d’or, aujourd’hui, que sur une seule base militaire au Kirghizistan.

Que n’aurait-on pas dit et peut-on imaginer ce qui se serait passé si la Russie, le chien de garde des Européens à l’Est, ne l’oublions jamais, avait perdu la guerre de Tchétchénie, avec le risque de se retrouver à Stavropol, point de départ de la colonisation russe au XIXe siècle face à une déferlante islamiste, la Russie perdant par là-même son prestige et son autorité en Asie centrale. Une catastrophe semblable serait équivalente, pour les Européens de l’Ouest, à la prise de Byzance par les Turcs, en 1453 !

Vladimir Poutine a réussi aussi à arrêter le mal pernicieux des révolutions oranges, tout cela ayant été préparé, sans aucun doute possible, par la C.I.A., avec les innombrables O.N.G. du style de celles de Monsieur George Soros comme maîtres d’œuvre.

Il a vu le danger démographique en redressant la barre de la natalité, la Russie risquant de se retrouver avec seulement cent millions d’habitants en 2050, soit moins que la Turquie dans un territoire deux fois plus grands que les États-Unis ! Prenant l’exemple de Pierre le Grand, il a rétabli partiellement la puissance militaire russe, comme on a pu le voir en Géorgie et a compris, avec le Président Medvedev, qu’il fallait favoriser les investissements étrangers, tout en modernisant une économie trop tournée vers les matières premières.

Et enfin, et surtout, il a compris que le redressement, le rétablissement de la Russie passait par les valeurs traditionnelles, le patriotisme, l’Église orthodoxe, constituant un magnifique contre-exemple pour les démocraties européennes décadentes et aveugles ! L’autoritarisme, excessif en Russie pour un Européen de l’Ouest, correspond en fait à la dimension asiatique du pays et est seul à même d’éviter l’éclatement ; n’oublions pas aussi que la Russie a vécu pendant plus de deux siècles sous le joug mongol de la « Horde d’Or ».

Par moi : Concernant Poutine je n'irait pas jusqu'à l'idolâtrer quand même, mais il est indéniablement permis le retour de la Russie sur la scène internationale, permis l'émergence d'une société civil et classe moyenne, sa présidence est entaché de la guerre de Tchétchénie et nombreuses affaires troubles. Au début des années 2000 il a été l'homme de la situation qui a "redémarrer" l'état russe et profitant de la hausse du prix du baril a créer une dynamique en Russie dont a bénéficier une part non négligeable de la population. Après bon, la vertical du pouvoir était nécessaire au début des années 2000 avec la corruption et la mafia qui gangrenait la société mais sur la duré ce système commence a avoir ses limites. Tout pouvoir doit avoir un contre pouvoir ( s'est mon point de vue) pour lutter contre la corruption entre autre. Il y a eut autrement durant sa présidence la seconde guerre de Tchétchénie, guerre assez terrible avec ses victimes des deux cotés soit dit en passant ( la presse ne le mentionne pas ), mais y avait-il d'autre solution, diplomatique peut être, face au risque d'éclatement du Caucase difficile a dire sans compter l' émergence d'un islamiste radicale dans cette zone. Concernant l'Europe soyons claire j'ai beau être un peu pro-russe ( oui si j'ai fait un site s'est que bon je ne déteste pas la Russie) les relations entre pays sont fait d'accords et de réciprocité ( le truc style les américains on les a détester et maintenant on va les aimer s'est pas ma vision des choses, je laisse sa au atlantiste béa) comme le disait de Gaulle, "en géopolitique il n'y a pas d'amis mais que des intérêts réciproques". si l'Europe a a redouter une Russie surpuissantes , elle n'a pas non plus a gagner d'une Russie affaiblis d'un point de vue économique.

La taxation du pétrole et du gaz, une idées en or pour l'état russe :

Le pétrole et les métaux - sont essentielles au pouvoir économique russe et, lors des précédentes turbulences qui ont agité les marchés, leurs prix ont considérablement baissé. Mettant en évidence la vulnérabilité de l'économie russe. La taxe sur le pétrole russe est structurée de façon telle que les entreprises pétrolières payent un impôt de plus en plus élevé à mesure que les prix du pétrole augmentent. Selon le même principe que la progressivité de l'impôt sur le revenu. Ce système a été pensé pour que les gains fortuits ne profitent pas exclusivement aux entreprises pétrolières mais soient taxés et redistribués.

Quand les prix du baril chutent, les pétroliers n’enregistrent qu’une légère baisse de leurs revenus puisque la part du lion est prélevée par l’État lorsqu'ils augmentent. C'est donc le gouvernement qui encaisse le coup quand les prix du pétrole dégringolent. Par conséquent, si la crise européenne débouche sur une baisse significative du prix du pétrole, la Russie sera fortement touchée.

Le plus grand crime de poutine :

Après l'instauration de cette taxe sur les entreprises du secteurs énergétiques en 2004 ( voir la vidéo page géopolitique3), l'état russe en engrangé un trésor de guerre de près de 500 milliards ne 2008 qui lui a servis a financer des chantier sociaux ( logement sociaux , prime pour les enfants, modernisation d'infrastructures, etc.) mais beaucoup reste encore a faire. L'état russe a puisé dans ses réserves durant la période trouble de 2008 a 2010 et ne s'est pas endetté . Quand on pense qu'en occident nombres d'élites ( certainement a tendance néolibérales) ont transformées en chevalier blanc des types comme Khodorkowski ( comme le disait le monde diplomatique a son sujet :" versons une petite larmes ") , et quand on sait que en France, l'état accorde beaucoup de largesse au entreprises du CAC 40 qui ne paie pour ainsi dire pas d'impôts ( selon certaine source le manque a gagner pour l'état français serait au minime de 80 milliards par an, soit 800 milliards en 10 ans) sans compter les autres cadeaux fiscaux au proches du gouvernement, etc. on se dit que la dette qui étrangle l'état français de 1600 milliards pourrait être bien plus modeste si une certaine oligarchie financière en France avait été elle aussi mise a contribution. Oui mais voila chez nous en France le pouvoir financier a pris le pas sur le pouvoir politique contrairement en Russie ou s'est le pouvoir politique qui dirigent le pouvoir financier, ne serait-ce pas plutôt sa que l'on reprocherait a Poutine en Russie n'avoir pas permis a une certaine oligarchie ( qui a de bonne relation avec une autre oligarchie européenne et anglo-saxonne) d'avoir la main mise sur la Russie comme durant les années 90. Grande question auquel nombres d'entre nous devrait méditer sur le méchant Poutine et surtout sur la situation dans le monde qui consiste a faire payer les pauvres et le bon peuples avec les traditionnel argumentation " vous avez vécu au-dessus de vos moyens" classique , mais sa marche encore, la grèce et d'autre pays sous tutel du FMI sont la pour le prouver.

 

 Et nos politiques vis a vis de la Russie :

D'abord je ne pense pas qu'il y ai en france beaucoup de différence entre droite et gauche, François Mitterrand était de gauche mais il a été un authentique atlantiste durant les années 80 Chirac bien que étant de droite était assez proche de Poutine et un pro-américain des plus modéré ( opposition a la guerre d'Irak , pour la cause palestinienne mais un des premier a se rendre aux USA après les attentat du 11 septembre quand même). Probablement que la désillusion du communisme a frustré pas mal de gens a gauche ( voir l'article --->) . Quand a Sarkozy s'est un pro-américain tendance néocon des plus extrême mais pragmatique la Russie est un pays avec lequel il faut compter probablement s'est-il rendu compte une tendance pro-américaine pouvait nuire aux intérêts économique de la France ( vente des mistral a la Russie) . Ce rapprochement france-russie est plus dictée par des considération économique que stratégique ou géopolitique nos élites sont en grande majorité pro-américains avec une vision particulière du monde ( l'intervention en Libye a été soutenu par la gauche et la droite tout comme celle en Syrie), il n'y a pas vraiment de clivage droite gauche en géopolitique. L'ancrage pro-américain, le renforcement de la France dans l'Otan qui est il faut le rappeler sous direction de Washington, l'Europe reste un nain géopolitique de part sont alignement sur la politique des usa.

L'interdépendance de la russie et de l'union europénne est réelle. ( ceux qui se réjouissent du maleur des russes sont des ânes ) dans le domaine de l'énergie mais aussi dans nombres de domaines industriel, les échanges commerciaux le montrent : 233 milliards d'euros pour la russie( 144 pour les exportations russes et 89 pour les exportations); mais les relations se sont tendus lorsque la russie s'est rendu compte que l'union européenne n'avait pas pour objectif de devenir un contre poids vis a vis des états unis. ( il est bon de mentionner que les USA n'invesstissent pour ainsi dire pas en russie et de se fait ne sont pas concerné en cas d'affaiblisment de la russie. Comme le reconnait Michel Foucher menbres du conseil des affaires étrangères, en s'appuyant sur les atouts des états menbres de l'UE il faut rechercher les voies du dialogue sur des sujets d'interets communs, ils sont inombrables.

De plus on peut se demander si nos politiques ne travail pas contre les intérets de la france, ainsi l'ambargo décrété contre l'iran sur injonction des usa sans qu'il y ai eut concertation entre européen est contreproductif, car cela ne gène pas énomément l'iran mais pire , pour compenser la perte d'approsionnement l'europe dépend plus que jamais du qatar et de l'arabie saoudite lequel ne sont pas spécialement il faut le rappler démocratique, de plus ses pays soutienne dans tout le moyen orient des groupes salafistes des plus extrèmes. L'EU préfaire plaire a washington plutot que d'avoir une vision plus neutre et plus constructive vis a vis du moyen orient, contre poids iran / qatar-arabie saoudite par exemple. Qu'a t-on a redouter des russes ils ont renonncer a promouvoir un modèle , en revanche le pouvoir qatarien ou saoudien alimente un islamste radicale groupes salafistes etc. Est-ce une bonne chose pour la france, vous voyer les quotidients francais dénoncer les manquement démocratique, les exécutions sommaires en arabie saoudite !!! non il y a un moment quand on voit le tolé concenrant la construction d'une église orthodoxe sur paris par la Russie, on se demande si nos élites ne préférerait pas avoir une mosqué .

Cette hostilité vis a vis de la russie n'est que une volonté plus ou moins tacite des usa et de leurs fidèle partisans ( journalistes,etc) d'empecher une bonne entente, entente qui se ferais au détriment des USA d'un point de vue géopolitique ( l'exemple de l'irack 2003 atteste de cette thèse) mais est-ce que nous avons vraiment a gagner de cette tension rien n'est moins sur les intérets des uns ne sont pas forcément les intérets des autres ( usa et europe).

Pour finir :

La seconde guerre mondiale ne fut pas ce qu'en disent les discours d'origine russes ou américaines, ce fut la fin d'une nouvelle guerre de trente ans qui avait commencé en 1914. Cette guerre fut pour l'Europe une catastrophe sans précédent, elle n'avait pas seulement saigné la meilleure part de nos peuples, elle a brisé pour longtemps leur foi en eux-eme, elle a détruit l'ordre politique et social spécifique de l'Europe, bien vivant encore avant 1914, et dont ne subsistent plus que des souvenir flous.Tandis qu'était anéantis l'ancien noyau de la puissance européenne, cette guerre a donné la victoire a deux grandes puissances hostiles et étrangère a l'Europe les USA et l'URSS. Encore aujourd'hui mentalement et géopolitiquement cette effondrement morale subsiste au sein même de nos élites qui n'ont d'yeux que pour les USA , pathétique mais vrai. Cette asservissement est aussi bien culturel que diplomatique et aussi un peu économique.

 

 

Quelle avenir pour la russie, la Russie par Soljenitsyne :

Extrait "pour saluer Soljenitsyne" célèbres écrivain russe :
(L'écrivain est mort à Moscou le 3 aout 2008 à 89 ans, il laisse une oeuvre immense qui témoigne pour les souffrances de la Russie et pour sa renaissance. Il est connu pour son célèbre livre l'archipel du goulag, dans lequel il dénonçait les exactions du système communistes, ce qui est moins connu s'est qu'il a sévèrement critiquer le modèle occidental aussi.

Les médias ( occidentaux) se moquent de la recherche de la vérité, ils sont a l'affut d'un coup afin de transmettre des émotions qui se vendent. Il (Soljenitsyne) compris que l'occident avait inventé un goulag mental qui n'avait pas besoin d'enfermer les dissidents puisqu'ils étaient réduits au silence par un système qui transforme l'écriture en objet de commerce dans un monde dérisoire, tout bruissant de vains tintamarres. Bien avant il avait écrit de façon prophétique:" du coté de l'occident , il n'y avait pas d'espoir, nous ne devons d'ailleurs jamais compter sur lui. Si nous accédons à la liberté, nous ne le devons qu'a nous. Si le XX siècle doit comporter quelque leçons a l'attention de l'humanité c'est nous qui l'aurons donnée a l'occident et non pas l'occident a nous. L'excès du bien être a atrophié en lui la volonté et la raison." Attaché de toute son âme et de toutes ses fibres à la Russie profonde, il souhaite pour elle autre chose que l'imitation obsessionnelle de l'occident, cette atmosphère polluante de brigandage". Si nous avons la volonté de ne pas disparaitre de la planète, nous devons tout seuls, de nos propres forces, nous relever de notre funeste inertie d'aujourd'hui.

 
 
 
 
 

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